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DécroissanceS - Le blog de Michel Lepesant

C’est de théorie et d'histoire, c'est-à-dire d’un corpus idéologique animé non pas par l'intransigeance mais par la cohérence conceptuelle, dont manque terriblement la politique. Dans une société dominée depuis longtemps par la résignation ou l'adaptation, avec quelques intermèdes de stupéfaction, où toutes les forces de la domination veulent la poursuite de la croissance et de son spectacle, il devrait être évident que ce que nous devons accomplir aujourd'hui est la critique radicale de tout ce qui existe, comme si tout était pour le pire dans le pire des mondes possibles.

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Comment construire une politique de la décroissance ? Colloque Polémos, le 11 mai

Le développement durable n’a pas d’avenir, la décroissance n’a pas de présent. Le 30 mars.

Présentation radiophonique de la décroissance en 12′

Comment organiser la décroissance ? Grenoble, le 19 janvier

Pourquoi n’est-il pas si facile d’être décroissant ? Nantes, le 17 janvier

Conversation pour le décroissant en « militant-chercheur » (antépisode exotérique)

Suivre l'actualité de ce blog – Lettre mensuelle, le 12)

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Les chroniques de la Lettre du 12

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C’est de coordination systémique dont la décroissance a besoin

On: 13 mai 2023
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Bien sûr que nous préférons quand les propositions décroissantes sont désirables et faisables. Mais est-ce suffisant pour qu’elles soient acceptables ? Comment vont-elles devenir désirables pour ceux qui aujourd’hui pensent le contraire, comment vont-elle devenir faisables démocratiquement ? Comment va-t-on faire nombre avec ceux qui ne sont pas décroissants ?

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L’insupportable transformation du militant en « supporter »

On: 12 avril 2023
With: 0 Comments

Ce qui me gêne dans le devenir-supporter du militant c’est que sa critique est seulement centrifuge, dirigée contre l’autre, jamais dans l’autocritique.

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Pas de philosophie politique sans effort de conceptualisation

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La décroissance au-delà de l’anticapitalisme

Quels chanvirements comme perspectives pour la décroissance ?

Pour habiter la vie sociale, il faut renverser les imaginaires de la croissance

La vie militante devrait aussi être une vie sociale

Rendre visible la décroissance : questions politiques de méthodes

La décroissance est-elle anti-progrès ?

Pas de philosophie politique sans des lectures idéologiques

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Lire Moins pour Plus, de Jason Hickel (Titre, sous-titre, préface et introduction)

J’ai relu, Le féminisme ou la mort, de Françoise d’Eaubonne (1974)

J’ai lu : Ralentir ou périr, l’économie de la décroissance, de Timothée Parrique

J’ai lu : Basculements de Jérôme Baschet

J’ai lu : Héritage et fermeture, Une écologie du démantèlement

J’ai lu : Terre et Liberté, d’Aurélien Berlan

J’ai lu : Où atterrir ? Comment s’orienter en politique, de Bruno Latour

J’ai lu : Le monde quantique et la conscience, d’Henry P. Stapp

J’ai lu : Petite introduction aux valeurs de la décroissance

J’ai lu : Vivre sans, de Frédéric Lordon

J’ai lu : Manières d’être vivant, de Baptiste Morizot

Lire : Le pire n’est pas certain, de Catherine et Raphaël Larrère

La perspective d’une valeur intrinsèque de la nature

Les auteurs de la théorie critique inspirent le corpus idéologique de la décroissance

Socialisme ou croissance : pourquoi lire Axel Honneth ?

Comment se revendiquer socialiste quand les décroissants prétendent être si critiques envers sa version marxiste ? J’ai longtemps cru que l’on pouvait sauver le socialisme en se revendiquant du socialisme utopique Mais le renouveau du socialisme prôné par Honneth va précisément s’appuyer sur la critique d’une vision partagée par tous les socialistes, scientistes comme utopiques : leur « monisme économique ».

J’ai lu : L’idée du socialisme, d’Axel Honneth

Si la décroissance doit se reconnaître comme un socialisme, alors il faut libérer le socialisme de son ancrage industrialiste.

Pourquoi faut-il lire Hartmut Rosa ?

Parce que le désir (sans limite) de contrôle nous prive de résonance. Parce que la résonance – et non pas le ralentissement – est la solution du problème central de notre temps : l’accélération. Parce que l’accélération est aliénation. Parce qu’une vie non-aliénée est une vie bonne. Et nous voilà revenu à la question sans doute la plus importante pour nous autres humains : qu’est-ce qu’une vie bonne – et pourquoi nous fait-elle défaut ?

J’ai lu : Aliénation et accélération, d’Hartmut Rosa

Sous la pression d’un rythme en accélération constante, les individus de la modernité tardive font désormais face à un monde qu’ils n’ont plus le temps ni d’habiter ni de s’approprier : ils sont aliénés.

J’ai lu : Résonance, d’Hartmut Rosa

La publicité et la marchandisation capitaliste transposent notre besoin existentiel de résonance, qui est désir de relation, en un désir d’objet. Mais la résonance ne se laisse pas rendre disponible.

La « tonalité affective » (Stimmung) et l’atmosphère de nos expériences de résonance sont « antérieures… à la séparation… entre sujet et monde ». L’oublier, c’est plonger dans l’aliénation (pour les sujets) et dans la réification (pour les objets).

J’ai lu : Rendre le monde indisponible, d’Hartmut Rosa

Le fait de disposer à notre guise de la nature, des personnes et de la beauté qui nous entourent nous prive de toute résonance avec elles. La frustration ne vient donc pas de ce qui nous manque mais de ce que nous avons perdu parce que nous en disposons.

J’ai lu : La société du mépris, d’Axel Honneth

Pour Honneth une revendication non–matérielle, morale, de reconnaissance ne ringardise aucune revendication matérielle.

J’ai lu : La lutte pour la reconnaissance, d’Axel Honneth

Faut-il interpréter les conflits sociaux comme des luttes pour l’existence ou bien comme des luttes pour la reconnaissance ?

2022-12-05

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