J’ai lu : Vivre sans, de Frédéric Lordon
Lordon fournit dans son essai des arguments pour critiquer ces antipolitiques qui court-circuitent la question du trajet, en se satisfaisant d’un projet caricaturé en simple négatif du rejet.Lire la suite…
Lordon fournit dans son essai des arguments pour critiquer ces antipolitiques qui court-circuitent la question du trajet, en se satisfaisant d’un projet caricaturé en simple négatif du rejet.Lire la suite…
Que le Commun apparaisse comme le cadre commun à l’intérieur duquel les libertés vont pouvoir s’exercer semble un premier acquis pour les décroissants. Mais que le (principe du) Commun ne soit pas seulement la base de la vie sociale mais un objectif politique – celui de la Volonté générale – semble plus difficile à reconnaître, et pourtant là est le « socialisme » des décroissants.Lire la suite…
Pour être féministe, donc anticapitaliste, donc décroissant, il faut être socialiste. Pourquoi ? Parce que féminisme et décroissance poursuivent le même objectif : la reproduction de la vie sociale, c’est-à-dire la priorité accordée à la vie sociale sur la vie individuelle.Lire la suite…
Si la décroissance doit se reconnaître comme un socialisme, alors il faut libérer le socialisme de son ancrage industrialiste.Lire la suite…
La « fatigue d’Atlas », c’est la fatigue de l’homme ordinaire qui subit la pression de devoir être au centre de son monde, de sa vie, de ses valeurs, comme s’il devait toujours être à l’origine de toute sa vie. Comment néanmoins respecter une dignité du quotidien, comment vivre dans la décenceLire la suite…
Au coeur de la pratique politique du Mouvement des objecteurs de croissance (le MOC), se trouve la notion de « masse critique ». Dans cette manière de Penser et Faire la transition, sont en jeu : les expérimentations sociales, les alternatives concrètes, les rapports avec les autres partis/mouvements de la gauche anti-productivisteLire la suite…
Les décroissants ont-ils un problème avec la politique ? En politique, les décroissants font-ils un blocage sur la question du pouvoir ? L’intérêt majeur du livre de Miguel Benasayag et Diego Sztulwark – Du contre-pouvoir, de la subjectivité contestataire à la construction de contre pouvoirs, La Découverte, 2000 – était,Lire la suite…
Comment riposter ensemble ? C’est le type même de question 1 à laquelle il semble très facile de répondre parce qu’on peut croire que la réponse est dans la question : « Comment riposter ? ». « Ensemble ! ». Cela semble évident si l’on veut éviter de résister chacunLire la suite…
Dans le cadre de l’Université d’été du NPA, à Port-Leucate, j’ai participé le lundi 24 août à 17 heures à un forum sur le thème : « Comment riposter ensemble ? », débat animé par Pierre-François Grond et lancé par Béatrice ( ?), du NPA. Etaient également présents et sont intervenus dans uneLire la suite…
A l’occasion de la 6° sortie de la revue Entropia, un numéro consacré à l’éthique, étaient réunis le samedi 4 avril 2009 une vingtaine d’intervenants autour de 3 tables rondes. Impossible évidemment de rendre compte de la totalité des interventions. Juste possible d’en extraire matière à penser, à discuter etLire la suite…