Pour une conception ATTACquante et non pas défensive de la protection sociale : acquérir de nouveaux avantages en faveur de la société. Publié dans la nouvelle Revue éditée à l’initiative du Conseil scientifique d’Attac, Les Possibles, n° 01 Automne 2013, par Baptiste Mylondo et Michel Lepesant Il peut sembler incongruLire la suite…

Cet essai est paru mi-juin 2013 ; je tiens à remercier les éditions Utopia. En cliquant sur ce lien, vous pouvez en lire les premières pages. LE MOUVEMENT DE LA DÉCROISSANCE se doit d’entrer dans une nouvelle phase. Il ne suffit plus de dénoncer l’impasse de la croissance, d’annoncer laLire la suite…

Présentation, par Michel lepesant Des lignes bougent, « indignation », « transition », « désobéissance », « sécession », des cris s’entendent pour tenter de bousculer une démocratie anesthésiée. A la croisée, en ligne de mire ou en filigrane, la « décroissance » doit maintenant prendre toutes ses responsabilités politiques. Bien sûr dans les « utopies concrètes », les alternatives, les expérimentationsLire la suite…

[Des bouts de mails qui répondent explicitement à la question] Les décroissants veulent-ils changer le monde ? Etre décroissant : la croissance n’est pas une solution mais un problème. Et pourtant nous voyons les choses du « point de vue des dominés » = nous sommes de gauche et même socialistes :Lire la suite…

[Ce texte est une version modifiée d’une contribution pour l’ouvrage collectif coordonné par Paul Ariès, Décroissance ou récession, paru en janvier 2012 aux éditions Parangon] 1. Quelle décroissance pour le socialisme ? C’est vers 1970, quand l’empreinte écologique tenait encore sur une seule planète, qu’il aurait peut-être été judicieux de refuser leLire la suite…

[Ce texte est paru dans le numéro 333 de Rouge&Vert, le « Journal des Alternatifs ». La question : « Faut-il décroître ? » m’était posée ainsi qu’à Stéphanie Treillet, économiste, membre de la Fondation Copernic, auteure de L’économie du développement. De Bandoeng à la mondialisation, (Armand Colin), qui répond « plutôt non » et àLire la suite…

Le temps n’est-il pas venu, après celui de « la décroissance générale », temps indispensable pour les audaces de la « décolonisation de l’imaginaire » et du « mot-obus », de passer au temps des « mesures de la décroissance » : proposer sans attendre des mesures de transition, pas de quoi faire un programme 1 mais quand même deLire la suite…

[Ce texte est une version longue d’un article paru dans le numéro 10 de la revue Entropia, consacré aux « Sources de la décroissance »] Une partie de la radicalité politique de la décroissance tient davantage du rhizome que de la racine : par son horizontalité et aussi par son potentiel de propagation.Lire la suite…

Je réponds ici à une interrogation qui m’est envoyée et qui part de ce que j’ai écrit dans « Garder l’équilibre » (http://decroissances.blog.lemonde.fr/?p=235). A propos de « ta synthèse sur les différents projets, intitulée Garder l’équilibre. Je suis d’accord avec tes analyses, par contre je ne suis pas sûr de  bien comprendre taLire la suite…