[Des bouts de mails qui répondent explicitement à la question] Les décroissants veulent-ils changer le monde ? Etre décroissant : la croissance n’est pas une solution mais un problème. Et pourtant nous voyons les choses du « point de vue des dominés » = nous sommes de gauche et même socialistes :Lire la suite…

Deux courts textes, parus dans le n°169 de La Baleine, la revue trimestrielle des Amis de la Terre Pour un espace écologique des revenus : application du concept d’espace écologique à la défense d’un revenu inconditionnel (RI) articulé à un revenu maximum acceptable (RMA). Monnaie locale, activité politique locale :Lire la suite…

[Paru au sein du livre de Philippe Derudder, Les Monnaies locales complémentaires : pourquoi, comment ?] Nous avons eu de la chance. En effet, la Mesure résulte d’une rencontre entre un projet et un « voyageur des monnaies locales ». Le projet, c’est celui d’un petit groupe qui en 2008 veut organiserLire la suite…

[Ce texte est une version modifiée d’une contribution pour l’ouvrage collectif coordonné par Paul Ariès, Décroissance ou récession, paru en janvier 2012 aux éditions Parangon] 1. Quelle décroissance pour le socialisme ? C’est vers 1970, quand l’empreinte écologique tenait encore sur une seule planète, qu’il aurait peut-être été judicieux de refuser leLire la suite…

Les décroissants ne peuvent ressentir spontanément que de la sympathie pour les Indignés. Comme en témoigne le vocabulaire sans cesse rencontré : « ras-le-bol, contre-culture, minorité, festif, exaspération, anarchique, protestataire, romantique, non-violence, démocratie, radicalité, autonomie, insurrectionnel, vivant, international, recherche… » Mais dans la mesure où les décroissants se définissent comme mouvement politique, ilsLire la suite…

Le point de départ de ces réflexions est la demande, qui m’avait été faite pour les 4èmes rencontres des porteurs de projet de monnaies locales complémentaires (MLC) qui ont eu lieu à Villeneuve sur Lot en octobre 2011, d’animer une discussion sur les motivations des porteurs de projet, avec pourLire la suite…

[Ce texte est paru dans le numéro 333 de Rouge&Vert, le « Journal des Alternatifs ». La question : « Faut-il décroître ? » m’était posée ainsi qu’à Stéphanie Treillet, économiste, membre de la Fondation Copernic, auteure de L’économie du développement. De Bandoeng à la mondialisation, (Armand Colin), qui répond « plutôt non » et àLire la suite…

Dans une comptabilité, il y a 2 colonnes, celle des entrées et des sorties, des crédits et des débits, des dépenses et des recettes ; l’équilibre se fait en baissant l’une ou en montant l’autre. Être de droite : c’est baisser les dépenses – parce que les pauvres ne sontLire la suite…

La « fatigue d’Atlas », c’est la fatigue de l’homme ordinaire qui subit la pression de devoir être au centre de son monde, de sa vie, de ses valeurs, comme s’il devait toujours être à l’origine de toute sa vie. Comment néanmoins respecter une dignité du quotidien, comment vivre dans la décenceLire la suite…

De quelle utilité parlons-nous ? De l’utilité sociale quand elle ne se réduit pas au seul intérêt économique. Ce qui ne veut pas dire : pas d’intérêt économique du tout 1 ; mais juste l’intérêt économique remis à sa juste place  2, qui n’est ni première ni centrale. _____________________ Les notes etLire la suite…