Pour quelqu’un comme moi qui vois la décroissance avant tout comme un engagement politique, la séquence que nous subissons est particulièrement pénible à vivre, et si triste à réfléchir. Du plus loin – les outrances de Trump, les effondrement moraux qui alimentent les conflits en Ukraine et à Gaza, lesLire la suite…

En diverses occasions cet été, j’ai remarqué qu’il semblait exister un consensus dirigé contre les « tunnels ». J’ai même vu et entendu la même animatrice de débat a) soupirer dès que l’intervenant.e tentait de prendre quelques minutes supplémentaires pour compléter une analyse mais b) ponctuer d’un « cool » toute intervention qui s’abrégeaitLire la suite…

La croissance est plus qu’une domination économique, sociale et culturelle. C’est aussi une aliénation politique. En osant affirmer que la question “qu’est-ce qu’une vie bonne ?” est politique, la décroissance repose la question du sens.Lire la suite…

Si les trois réalités suivantes ne peuvent pas être vraies en même temps, alors l’une au moins est fausse. Réalité de la croissance comme boussole économique et défaite de l’écologie Alors que la crise agricole aurait pu aboutir à une remise en cause de l’agro-industrie et de la concurrence généraliséeLire la suite…

C’est de théorie et d’histoire dont a besoin la politique ; et tout particulièrement la décroissance politique. Voilà pourquoi la lecture de livre court, dense et perturbateur devrait marquer un tournant dans la montée en maturité politique de la décroissance.

Sortir du régime de croissance, mener une politique de la dépense, ce sont des pistes pour réintroduire la question du sens au cœur même de la politique.Lire la suite…

Après la séquence des GJ, voici celle de la « colère des agriculteurs » : une même question se pose à tou.te.s celles et ceux qui s’appuient sur une critique globale de la société : dans quelle mesure peut-on appuyer des mouvements qui, au départ du moins sont plus parallèles que convergents.Lire la suite…