Je me propose d’essayer de rendre compte de cet article (publié dans Entropia n°1) sous la forme d’une discussion fictive qui aurait lieu entre des « partisans de la décroissance », Michel Dias étant l’un d’entre eux (son point de vue est celui qui est précédé par le double trait), l’autre étantLire la suite…

Voici un texte qui a été élaboré collectivement par une vingtaine d’objectrices et objecteurs de croissance, à l’occasion d’un atelier pendant les Rencontres estivales des objecteurs de croissance à Rochejean du 12 au 15 juillet 2008. « Il n’est pas possible de croître toujours plus dans un monde avec des limites etLire la suite…

Pourquoi ce sentiment que la litanie des appels à l’union n’est plus que rite ? Sentiment peut-être d’autant plus injustifié qu’il resterait sourd à cette « inouïe » nouveauté qui, au travers de revendications juxtaposées, mériterait d’être vraiment écoutée : il faut réunir le social et l’écologie, il faut faireLire la suite…

Qu’est-ce qui nous différencie de tous les appels à l’union du rouge et du vert ? Viendra peut-être un jour où la réponse à cette question ira de soi mais cela ne semble pas le cas aujourd’hui et c’est pourquoi le temps de la réponse doit être précédé de questionsLire la suite…

Nul besoin de revenir sur les constats : ils sont nombreux, ils sont convergents et ils sont chiffrés. Alors un seul exemple : 20% des humains possèdent 86% des ressources mondiales ; la richesse des quatre familles les plus puissantes équivaut à celle des 48 pays les plus pauvres.Lire la suite…

La démocratie radicale contre le consensus néolibéral. Entretien avec Chantal Mouffe réalisé par Elke Wagner, publié dans la Revue internationale des livres et des idées, n°3. http://revuedeslivres.net/articles.php?idArt=103&PHPSESSID=f46ae0a27eee039c5ce1001f6943c0abLire la suite…

Un essai de sociologie écrit de retour des rencontres altermondialistes de Nyons de février 2008. Pourquoi tant de communication pour si peu de décision ? Pourquoi tant d’heures d’ateliers, tant d’heures de plénières pour autant d’agressivité, de déception ; et pour les plus sensibles, pourquoi tant de tristesse ?Lire la suite…

L’ambition d’une « revue d’étude théorique et politique de la décroissance » peut sembler grande mais elle est pleinement assumée dès la première phrase du premier numéro (automne 2006) de cette nouvelle revue : « toute pensée qui refuse son autocritique n’est plus une pensée, mais une croyance ». CetteLire la suite…