Ré-écriture de mon intervention du mercredi 15 mai dans le cadre des Entretiens de l’anthropocène, débat avec Luc Semal (Institut Momentum), animé par Aurélie Trouvé (Attac) : Expériences passées et initiatives de sobriété et décroissance par en bas, populaire et joyeuse, aux antipodes d’une éco-technocratie. Cette intervention prétend être un plaidoyerLire la suite…

Cet essai est paru mi-juin 2013 ; je tiens à remercier les éditions Utopia. En cliquant sur ce lien, vous pouvez en lire les premières pages. LE MOUVEMENT DE LA DÉCROISSANCE se doit d’entrer dans une nouvelle phase. Il ne suffit plus de dénoncer l’impasse de la croissance, d’annoncer laLire la suite…

Les décroissants ne peuvent ressentir spontanément que de la sympathie pour les Indignés. Comme en témoigne le vocabulaire sans cesse rencontré : « ras-le-bol, contre-culture, minorité, festif, exaspération, anarchique, protestataire, romantique, non-violence, démocratie, radicalité, autonomie, insurrectionnel, vivant, international, recherche… » Mais dans la mesure où les décroissants se définissent comme mouvement politique, ilsLire la suite…

Au coeur de la pratique politique du Mouvement des objecteurs de croissance (le MOC), se trouve la notion de « masse critique ». Dans cette manière de Penser et Faire la transition, sont en jeu : les expérimentations sociales, les alternatives concrètes, les rapports avec les autres partis/mouvements de la gauche anti-productivisteLire la suite…

Pique-nique, ballade et maintenant bal : toute une variété de manifestations pour rendre visible la décroissance. Ces « initiatives » se rangent dans le pied de la visibilité : avec les manifestations, les pétitions et surtout les élections… Tout ce « pied » rencontre l’épine du « pouvoir » ; sur ce point, il me semblaitLire la suite…