Ré-écriture de mon intervention du mercredi 15 mai dans le cadre des Entretiens de l’anthropocène, débat avec Luc Semal (Institut Momentum), animé par Aurélie Trouvé (Attac) : Expériences passées et initiatives de sobriété et décroissance par en bas, populaire et joyeuse, aux antipodes d’une éco-technocratie. Cette intervention prétend être un plaidoyerLire la suite…

La revue Silence et les éditions Ecosociété qui ont déjà édité le Manuel de transition, vont publier cet automne un petit livre  « Un écologisme apolitique ? Débat autour de la Transition »,  traduit de l’anglais et qui pose des questions sur la pratique dans les groupes de transition. C’est suivi d’uneLire la suite…

« Décroissant » et « objecteur de croissance » ont-ils la même signification, est-ce que ce sont des termes interchangeables ? Je ne le crois pas. Groupuscules que nous sommes, nous ne nous sommes peut-être même pas mis d’accord sur le nom propre qui nous serait commun. Pire qu’un simple oubli ou une négligenceLire la suite…

[Paru au sein du livre de Philippe Derudder, Les Monnaies locales complémentaires : pourquoi, comment ?] Nous avons eu de la chance. En effet, la Mesure résulte d’une rencontre entre un projet et un « voyageur des monnaies locales ». Le projet, c’est celui d’un petit groupe qui en 2008 veut organiserLire la suite…

[Ce texte est une version modifiée d’une contribution pour l’ouvrage collectif coordonné par Paul Ariès, Décroissance ou récession, paru en janvier 2012 aux éditions Parangon] 1. Quelle décroissance pour le socialisme ? C’est vers 1970, quand l’empreinte écologique tenait encore sur une seule planète, qu’il aurait peut-être été judicieux de refuser leLire la suite…

Le point de départ de ces réflexions est la demande, qui m’avait été faite pour les 4èmes rencontres des porteurs de projet de monnaies locales complémentaires (MLC) qui ont eu lieu à Villeneuve sur Lot en octobre 2011, d’animer une discussion sur les motivations des porteurs de projet, avec pourLire la suite…

[Ce texte est une version longue d’un article paru dans le numéro 10 de la revue Entropia, consacré aux « Sources de la décroissance »] Une partie de la radicalité politique de la décroissance tient davantage du rhizome que de la racine : par son horizontalité et aussi par son potentiel de propagation.Lire la suite…

Dès que la politique s’engage et qu’il ne s’agit plus de décrire le monde tel qu’il est mais de commencer à penser un autre monde, à moins de rester dans les plus folles imaginations ou d’avoir réussi à abandonner toute exigence de réalisme, se posent les questions du chemin etLire la suite…