Quelles valeurs mettre au centre du monde victorieux de l’hyper-libéralisme ? Economiquement, c’est évidemment l’argent, l’argent sans limites, l’argent pour l’argent, l’argent comme équi-valent « neutre » de la marchandisation généralisée. Idéologiquement, c’est la liberté comme « méta-valeur » qui dispense chacun de se penser au sein d’une vie commune puisque une telle liberté seLire la suite…

Je mets en ligne la version longue d’une tribune publiée sur Reporterre, mais dans une version très écourtée et modifiée. Le débat sur le revenu de base, allocation universelle, garantie, minimum… fait son entrée fracassante dans le débat politique, en tous cas parmi les candidats de gauche. Paradoxalement, il n’estLire la suite…

Le site A l’encontre publiait fin décembre 2016, une critique par Michel Husson contre le revenu universel. Il publie aujourd’hui ma réponse à cet article ; article qui est aussi en ligne sur le site où j’avais découvert le texte de M. Husson : entre les lignes entre les mots,Lire la suite…

Voici ce que j’avais préparé pour le café-débat organisé par les amis de Décroissance44, à Nantes, le 21 décembre. Mon intervention y a plutôt été fidèle. De la discussion qui a suivi, je retiendrais évidemment le point délicat de la critique que je porte quant à la véritable portée desLire la suite…

Je ne mets ici qu’un extrait de la version écrite de mon intervention à Nyons le vendredi 2 décembre, consacrée à une critique des fables partagées paradoxalement par les adorateurs de la croissance et leur adversaires « alternatifs » déclarés. Le fondement caché de ce paradoxe me semble résider dans un « individualismeLire la suite…

Je propose ici une version (plus) longue d’un article paru dans le journal de nos amis suisses, Moins, consacré à une courte histoire de l’antiproductivisme. J’ai pris ce titre comme clin d’oeil au sous-titre du livre que j’ai dirigé sur L’antiproductivisme, un défi pour la gauche (éditions Parangon, 2013). LeLire la suite…

En préalable, je voudrais juste faire remarquer que ce n’est pas parce que le « noyau » de la décroissance doit en assurer la visibilité, qu’il doit lui-même être particulièrement visible. Je veux signaler par là que sa compréhension demande une certaine lenteur et une certaine finesse ; que sa compréhension n’estLire la suite…

2- Le noyau de la décroissance : les principes et les rayons La Maison commune des décroissant.e.s est une « bergerie » et on ne veut pas y faire entrer le « loup » de ce que nous appelons « l’unitude » (c’est-à-dire la confusion et le brouillard qui surgissent dès que l’on veut « faire nombre » avantLire la suite…

Pour un mouvement d’idées, Il est plus confortable de se complaire dans l’invisibilité et le groupusculaire que de s’organiser afin – sans trahison et avec cohérence – de bousculer le ronron croissantiste des débats politiques. Comment sans abandonner le politique faire de la politique ? Comment construire une Maison commune desLire la suite…

Version complétée de mon intervention du vendredi 24 juin à Annecy (74), invité par les Amis de la Terre pour réfléchir et discuter ensemble de cette notion d’espace écologique, et pour répondre à la question : « La position des sociétés soutenables : utopie ou alternative ? » En mars 2011, lesLire la suite…