Une contribution à l’élaboration d’une stratégie de la transformation pour sortir définitivement du capitalisme. « Galaxie décroissante », « nébuleuse de la décroissance », les expressions ne manquent pas pour qualifier aujourd’hui dans les petits mondes de la gauche de la gauche, de la gauche écologique, de l’extrême gauche ouLire la suite…

A l’occasion de la 6° sortie de la revue Entropia, un numéro consacré à l’éthique, étaient réunis le samedi 4 avril 2009 une vingtaine d’intervenants autour de 3 tables rondes. Impossible évidemment de rendre compte de la totalité des interventions. Juste possible d’en extraire matière à penser, à discuter etLire la suite…

Un extrait du Dictionnaire de l’autre économie (2006) : dans l’article consacré à la Monnaie sociale (p.461). En quoi une « monnaie sociale » se démarque de l’organisation monétaire habituelle ? Ce qui permet, par contrecoup, de bien faire ressortir les caractéristiques du monde habituel, devenues « invisibles », « normales » et « inchangeables » par laLire la suite…

Qu’est-ce qui fait qu’une alternative est « concrète » ? « Abstraire », c’est extraire, c’est « séparer de « . Une alternative concrète est donc une alternative liée, engagée, confluente, « articulée ». Intervention lors des rencontres de Saint-Jean du Gard de février 2009. Je la relis aujourd’hui et je m’étonne moi-même de la constance d’un certain nombreLire la suite…

  [Article paru dans le Sarkophage n°8] Pourquoi, au sein de la gauche antiproductiviste, les questions de la reconnaissance et de son déni, le mépris, permettraient de faire une place pour une revendication politique de l’Humain ? Pourquoi ne pas admettre d’ajouter une dimension « morale » à toutes cesLire la suite…

Voici un texte qui a été élaboré collectivement par une vingtaine d’objectrices et objecteurs de croissance, à l’occasion d’un atelier pendant les Rencontres estivales des objecteurs de croissance à Rochejean du 12 au 15 juillet 2008. « Il n’est pas possible de croître toujours plus dans un monde avec des limites etLire la suite…

Nul besoin de revenir sur les constats : ils sont nombreux, ils sont convergents et ils sont chiffrés. Alors un seul exemple : 20% des humains possèdent 86% des ressources mondiales ; la richesse des quatre familles les plus puissantes équivaut à celle des 48 pays les plus pauvres.Lire la suite…