Comment ne plus être dans l’illusion de l’avant-garde sans pourtant toujours revenir aux mêmes débats d’arrière-garde ? 1- Critique « décroissanciste » de la raison : qu’est-ce qu’« avoir raison » pour un objecteur de croissance ? Critiquer le monde en crises (énergétique, climatique, sociale, économique, culturelle, politique et bien sûr anthropologique…Lire la suite…

Au coeur de la pratique politique du Mouvement des objecteurs de croissance (le MOC), se trouve la notion de « masse critique ». Dans cette manière de Penser et Faire la transition, sont en jeu : les expérimentations sociales, les alternatives concrètes, les rapports avec les autres partis/mouvements de la gauche anti-productivisteLire la suite…

Il importe tout d’abord d’admettre que la question – la connaissance scientifique a-t-elle des limites ? – n’est guère compréhensible en raison des ambiguïtés qui portent sur chacun des termes significatifs qui la composent. Qu’est-ce qu’une connaissance ? Sous-entendu, si toute connaissance est la connaissance d’une vérité, que faut-il entendreLire la suite…

Il est fondamental pour l’objection de croissance en politique de lier le chemin et le but, le trajet et le projet, la méthode et le contenu : la stratégie de la transformation et la décroissance ; pour adopter une stratégie de l’escargot : le trajet de l’escargot. D’une part, laLire la suite…

Au cœur d’une action politique des objecteurs de croissance, il y a une épine : la question du pouvoir. Sur cette question, les OC – ou en tout cas, tous ceux qui ont fait droit à un indispensable « moment libertaire » dans leurs pratiques – développent quelques thèses : Pas/plus question deLire la suite…

Voici l’article que le journal Le Sarkophage m’avait demandé et qui est paru dans l’édition de septembre 2010. Les monnaies locales sont-elles la nouvelle mode de la mouvance alternative ? Est-ce un effet direct de la crise financière mondiale ? Des solutions locales pour un désordre global ? A moinsLire la suite…

Non seulement, la croissance, c’est le malheur, mais la décroissance peut aussi être le bonheur.  Quel est le bonheur de la simplicité volontaire ? Au moment de défendre une décroissance « activivante », surtout ne pas se laisser aller à croire que c’est la prise de conscience de ce qu’est vraiment leLire la suite…

A première vue, il n’y aurait là qu’une querelle de mots qui aurait due être depuis longtemps tranchée entre, d’un côté, l’élégance d’une expression-référence à la résistance des « objecteurs de conscience » et de l’autre un mot malheureux tant par son préfixe – « dé- » aurait une connotation seulement négative – queLire la suite…

« Les deux tiers de l’humanité peuvent encore éviter de traverser l’âge industriel s’ils choisissent dès à présent un mode de production fondé sur un équilibe post-industriel, – celui-là même auquel les nations vont être acculées par la menace du chaos ». Ivan Illich, La convivialité, Introduction. Est-il possible en écrivant uneLire la suite…

Serge Latouche dans plusieurs de ses écrits propose une liste d’axes pour s’engager concrètement dans l’alternative et la rupture avec la société de croissance. Il s’agit juste de faire un inventaire de ses propositions d’abord pour en faire émerger la cohérence ; ensuite, au travers des quelques variations constatables, pourLire la suite…